La majorité des étudiants qui ont participé au mois de mai 68 sont désignés comme les gauchistes, mais ces étudiants ne représentent pas une seule organisation, mais plusieurs avec des idéologies différentes, comme l'indique clairement dans ce tableau:

 

Les Groupes Officiels	Les Groupes non Officiels (Les Groupuscules)	Les Groupes Internationaux
Syndicat National de l’Enseignement supérieur – SNES up	UJC - union des jeunesses communistes (Marxistes-Léninistes)	SDS (international) - Sozialitischer Deutsche Studentenbund
Union des Etudiants Communistes – UEC	M22M - Mouvement du 22 mars	SDS (international) - Students for a democratic society (USA)
Fédération Nationale des Etudiants de France – FNEF	MAU - mouvement d'action universitaire
Union Nationale des Etudiants de France – UNEF	JCR - jeunesse communiste révolutionnaire
	GP - gauche prolétarienne
	FER - fédération des étudiants révolutionnaires
	CNV - comité Vietnam national
	CVB - comité Vietnam de base
	CLER - comité de liaison des étudiants révolutionnaires
	CLEO - comité de liaisson étudiants-ouvriers
	CAL- comités d'action lycéen

 

         

       

•  (De GAUCHE) Union Nationale des Etudiants de France – UNEF  

Le Parti :

Jacques Sauvegeot est la chef de l'UNEF. Ce parti ont des buts de l'amélioration des conditions de vie des étudiants. Le parti était contre les politiques américaines de la guerre en Vietnam et il était les discours’ trop longues. L'UNEF a été foundé par les petits groups qui se joindraient ensemble pour créer un parti pour la sécurité des étudiants et le systèm d'aides sociales.

L’histoire :

Au début de l’UNEF il n’était pas un parti politique mais étudiant. Le parti s'est occupé du logement, la sécurité et les lectures/livres pour les étudiants. Mais dans les années de la guerre algérienne il a changé ses buts. Il a fondé les opinions politiques comme protéger la territoire nationale. Les gauchistes qui s’opposent les opinions ont parti de l’UNEF et ils ont formé l'FNEF. Le Parti Socialiste Français prise de contrôle. C’est une mouvement étudiant fragile qui est divisée, sans perspectives et dans un crise d’État. Il a perdu beaucoup de membres et l’argent donc la majorité des étudiants adhérait à le PSU. Une contestation: Daniel Cohn-Bendit a été interdit d'un conference de L'UNEF - donc il n'était pas un membre.

Mai 1968 :

Nanterre 3. Mai 1968 il y a les émeutes, L'UNEF ne sont pas le premier parti de réagir. C’était difficile de voter un nouveau chef du parti donc la deuxième du parti, Jacques Sauvegeot devenait le rôle du chef. Il a devenu un des trois figures le plus connus pour Mai 68 avec Alain Geismar et Daniel Cohn-Bendit. Sauvegeot a négocié avec les officiels universitaires et le gouvernement. Donc il a organisé les manifestations dans les rues. La population française pensaient que l’UNEF a organisé le mouvement étudiant à Nanterre, les français sont incorrects parce que les étudiants ont moins de faire avec les manifestations contre la violence. Le parti a lutté pour le retrait des forces de l'ordre et la réouverture de Nanterre et de la Sorbonne. Après le deuxième discours de de Gaulle le 30 Mai l'UNEF continuait d'appeller les manifestations avec les <<groupuscules>>.  

• (De DROIT) Fédération Nationale des Etudiants de France – FNEF

Le Parti :

Il s’occupe des étudiants. Comme les vacances, les billets moins chère, l’espace dans les salles de lecture. C’est un parti pro gaullist, de nos jours le parti le plus gaullist était le dernier président Nicolas Sarkozy. Les étudiants qui ne supportaient pas le nouveau UNEF parti après il devenait un parti politique à la place du parti étudiant ont fondé le FNEF. Le FNEF devenait le rival de l'UNEF parce qu'il a gagné l'argent d'état de l'UNEF. Le parti de FNEF se sont affaiblissait le mouvement étudiant.

• (De GAUCHE) Union des Etudiants Communistes – UEC

Le Parti :

Guy Hermier 1965-1967 Jean-Michel Catala 1967-1969.Le parti est liée avec les universités et ses campus’. Il est contrôlé pas trente membres nationales. L’UEC permet aux étudiants de ce pays, de lutter contre le système capitaliste qui engendre injustices et inégalités. Son but était de permettre le dépassement du capitalisme, en combattant au quotidien toutes les formes d’aliénations et d’exploitations. Nous, étudiants communistes, luttons contre toutes les formes de dominations. Nous voulons un monde de paix, de partage des savoirs, des pouvoirs, une économie au service du développement humain, du respect de son environnement. Pour notre part cette volonté, cette perspective, nous s'appelons communisme.

L’histoire :

Fondé par le parti communiste française (PCF) en 1956. Plus d’étudiants sont contre le PCF et ses opinions de la politique Algérienne, comme les votes pour Guy Mollet d’avoir la puissance plein du gouvernement. 1961 les étudiants Trotskistes se sont retirés de l’UEC et ils ont fondé la Comité de Liaison des Etudiants Révolutionnaires (CLER).  Les étudiants compataient aux chinois quand ils disputent avec les soviets.  Outré pas le PCF qui supporte François Mitterrand dans les élections présidentielles 1965 et aussi la victoire pour Vietnam, les étudiants plus connus étaient éliminés par le PCF.  April 1966 la deuxième groupe des étudiants Trotskistes ont abandonné le UEC et ils ont fondé le JCR. Et dans les mois prochaines il y a un autre groupe qui sont formé qui s’appelle ML.

Mai 1968 :

Ils ont participé dans la nuit des barricades ou un peu des membres sont blessés - Alain Forner, André Sénik, Michel Butel, Serge July,Prisca Bachelet, Jean-Louis Péninou. Il y a la violence avec ‘Les Enragés’ un petit groupe d’agitateurs aussi connu comme les groupuscules. Les étudiants avaient une campagne contre la pénurie de moyens, les amphithéâtres surchargés et peu adaptés à l'utilisation de nouveaux moyens pédagogiques, et de plus rapidement saturés, les restaurants universitaires où piétinent des files d'attente interminables, des logements en nombre insuffisant. Les étudiants ont demandé la démocratie et de participation, revendiquant le droit de vote à 18 ans (celui-ci est acquis en 1974 seulement).

• (De GAUCHE) Syndicat National de l’Enseignement supérieur – SNESup

Le Parti : 

Alain Geismar est le chef de le SNESup. Le SNESup travaillent avec l'UNEF et ils ont décidé d'un mot d'ordre de greve illimitée. Les deux, conduit par Geismar, ont parlé avec le secrétaire général de la FEN (Fédération de l'Education nationale) de trois points :

1. L'abandon des poursuites et l'aministie des étudiants condamnés. 
2. Le retrait des forces de police du quartier Latin
3. La réouverture des facultés

L’histoire :

La forme actuelle de la SNESup, est issue d'une scission en 1956 du SNESR (Syndicat National de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche) affilié à la FEN. Cette organisation ont les buts comme la défense des enseignants, la coopération avec les associations étudiants.

Mai 1968 :

Après les manifestations violentes au début de Mai, il y a les négociations le 9 Mai. Le 10/11 Mai il y a le nuit des barricades avec une grande violence entre les policiers et les étudiants. Ce nuit ont reçu beaucoup d'attention de la Radio. A causé de cette évènement – la nuit des barricades le SNESup et la FEN ont organisé une manifestation pour le 14 Mai qui s’appelle <<la solidarité unissant ouvriers, étudiants et enseignants>>. C’est une manifestation générale parce que toute la France ont réalisé que le 10/11 Mai '68 n’étaient pas un mouvement étudiant c’est un part d’un grand problème français. La révolte étudiant en venait à une véritable crise nationale.

  

 

  

• Union des jeunesses communistes- UJC (Marxistes-Léninistes) 

L’histoire: Similaire à la FER et JCR, les M.L’s ont également été influencés par le marxisme et le léninisme, mais contrairement aux autres organisations, l'UJC a appuyé les opinions de Mao. L’UJC a été créé par les membres licenciés de la gauche radicale de l'UEC. Les dirigeants étaient Robert Linhart, Benny Lévy et Jacques Broyelle en décembre 1966 mais il ne dura que deux ans.

 

L’organisation: Malgré d'être classé en tant que groupe dans le mouvement étudiant, les M.L’s croient fermement à l'influence de la main-d'œuvre et de nombreux membres de ce groupe ont abandonné leurs études pour travailler pour bien suivre leurs croyances mais ils ne sont pas étroitement liée à aucun parti politique. Ils étaient présents dans les grèves de Caen en 1968 et étaient en faveur de la révolution vietnamienne. Les M.L’s ont tourné leur attention vers les étudiants de nouveau en 1968, mais leur objectif principal était de les encourager à intégrer la main-d’œuvre.

 

Mai 68: L’UJC a refusé d'obéir à l'autorité qui aurait pu attirer de nombreux étudiants, mais ils n'ont pas joué un grand rôle dans les événements de mai 68. Ils ne participaient pas dans les démonstrations étudiantes  parce qu’ils pensaient le bien-être du travailleur était plus important et ils ne veulent pas perdre le contact avec eux.

 

• Jeunesse communiste révolutionnaire- JCR

L’histoire: La JCR a été fondée en avril 1966 par beaucoup d’étudiants socialistes et des activistes militants qui ont été expulsés d’UEC.

 

L’organisation: Cette organisation a été influencée aussi par le point du vue de Trotski mais avait un plus grand rôle dans l’histoire de mai 68 en général que la FER. Alain Krivine et Daniel Bensaïd étaient quelques-uns des membres les plus influents et bien connus de la JCR.  La JCR a réussi à obtenir le soutien en expliquant le communisme pour répondre et d'engager des étudiants radicaux. Elle voulait aussi les étudiants à s'unir dans la lutte contre l'impérialisme et le fascisme après les révolutions cubaine et vietnamienne. Ce groupe croyait en l'installation d'une nouvelle forme de démocratie soviétique sans les influences du stalinisme et aussi la prise du pouvoir et la mise en place des comités de grève. La JCR était fortement impliquée dans les combats de rue et avait une force de combat disciplinée dans ce but précis, mais il fallait faire leurs preuves avant d'être admissible à une telle responsabilité. Cette organisation a été dissoute en juin 1968.

 

Mai 68: La JCR était également une grande partie de la formation du Mouvement du 22 mars à Nanterre.  Ils ont protesté contre la police spécifiquement dans la Sorbonne jusqu'au 10 mai et puis ils ont participé à la nuit des barricades. 13 mai lors de la grève générale, la JCR étaient présents et ont protesté en aidant à l'occupation de certaines usines.

 

• Fédération des étudiants révolutionnaires- FER

L’histoire: La fédération des étudiants révolutionnaires a été créée en avril 1968 par le CLER déjà existant ou Comité de Liaison des Etudiants révolutionnaires, donc ils partagent de nombreuses idées similaires.

 

L’organisation: Comme les autres organisations, la FER a souligné l'importance de lutter pour le bien-être des étudiants au sein du UNEF, ‘en convertissant exigences quotidiennes dans une orientation radicale.’[1] La FER, influencé par Trotski, a organisé beaucoup de démonstrations en face de plusieurs bâtiments publics. Cette organisation ne croyait pas que les étudiants étaient révolutionnaires au cours des premiers mois de 1968, mais en fait préoccupés par les questions scolaires, par exemple, les examens. En plus, la FER a encouragé les étudiants  de préparer et participer dans une révolte révolutionnaire avec la main-d'œuvre.

 

Mai 68: Pendant mai 68, la FER s’est moqué des étudiants qui pensaient qu'ils pouvaient faire une différence sur leurs propres, par exemple, avec les barricades. 10 mai, un grand groupe de membres FER est allé aux barricades pour avertir les élèves qu'ils seraient isolés et a suggéré qu'ils devraient avoir une manifestation d’étudiant-travailleur. La FER a aussi refusé de participer dans l’occupation de la Sorbonne, parce qu’elle a pensé qu’il mettrait en péril la relation entre les étudiants et les travailleurs ainsi que la possibilité de cette manifestation de masse. 13 mai la FER a finalement senti comme si elle pouvait atteindre son objectif, lorsque la grève générale a pris de plein fouet et ils ont rejoint les travailleurs dans le centre de l'activité de la grève, en particulier à Nantes.

 

• Les autres groupuscules

Aussi il y a beaucoup d'autre mouvements ou groupes non-officiels pour les étudiants. lls ont connus comme <<les enragés>> ou les <<groupuscules>>. Ils n’ont pas un lien avec les partis politiques. Il y a plusiers de groupuscules qui n’ont pas travaillé ensemble. Donc ce mouvement d’étudiant n’est pas seulement une mouvement avec tous les étudiants ensemble mais un peu mouvements qui ont crée un mouvement grande. 

D'ici il y a un peu des groupuscules et un peu d'information.

CNV - comité Vietnam national - le 22 Mars les chefs de le CNV ont arrtêter, puis le amphithéâtre est occupé par les étudiants pour discuter les changements de la société. 

CVB - comité Vietnam de base - C’est un group Maoist. Ce groupe est violent, comme la protestation sur le 7 Feb qui a causé les luttes dans les rues. 

CLER - comité de liaison des étudiants révolutionnaires - C’est un groupe Trotskistes qui sont fondé quand ils sont rétirés de l’UEC.

CAL- comités d'action lycéen - C’est un group des lycéens qui sont plus jeune que les étudiants mais ils les supporter. 

 

 

 

Qui: Daniel Cohn-Bendit est né le 4 avril 1945 à Montauban en France des parents juifs allemands. Il est déménagé en Allemagne en 1958 et a choisi la nationalité allemande pour éviter la conscription. En 1966, il est rentré en France pour étudier la sociologie à l'université de Nanterre, où il est devenu chef des médias du mouvement étudiant en 1968. Il était plus tard connu sous le nom «Dany le Rouge»  surtout à cause de ses cheveux roux.

 

L’organisation : Cohn- Bendit non seulement est devenu le porte-parole du mouvement du 22 mars (M22M), il a également dirigé le groupe anarchiste petite qui était Groupe anarchiste de Nanterre. Il a d'abord participé au sein du grand groupe anarchiste-la fédération anarchiste mais Cohn- Bendit et ses camarades ont assisté à une de leurs réunions de déclarer qu'elle était démodée. Il a ensuite rejoint le Noir et Rouge, un magazine anarchiste, dans lequel il dénonçait tous les partis politiques et que tout le monde ne devrait pas êtrecontraint à une société hiérarchique. Dans une interview, Cohn-Bendit a déclaré qu'il était «un anarchiste ... un anarchiste marxiste» Il a suggéré qu’il était anti-léniniste, car il a soutenu un centralisme démocratique. M22M était composé de membres de plusieurs organisations différentes, y compris le groupe anarchiste-Daniel Cohn-Bendit. Ils ne croient pas dans les choses mêmes et ils n'ont pas essayé de créer une idéologie unifiée; leur objectif était d'action et c'est ce qu'ils ont accompli. Il est connu pour ses protestations contre les conditions de l’Université de Nanterre, y compris les règles qui séparaient les dortoirs des filles et garçons et il exprimait son point du vue sur la liberté sexuelle.

 

Mai 68 : Une chronologie des événements qui comprenait Daniel Cohn-Bendit et ses organisations:

22 Mars : Les étudiants occupent la tour d’administrative de l’Université Nanterre en raison de l’arrestation de leurs camarades et la guerre du Vietnam.

2 Avril : Nouveaux incidents à l’université de Nanterre, qui continuent pendant tout le mois.

26 Avril : Des étudiants de Nanterre empêchent Pierre Juquin de faire un  exposé sur la crise de l’université.

2 Mai : A Nanterre, Daniel Cohn-Bendit organise une journée anti-impérialiste. Le doyen décide de fermer la faculté.

3 Mai : Les étudiants de Nanterre de rassemblent dans la cour de la Sorbonne. Sur demande u recteur Jean Roche, la police fait évacuer l’université et procède à 500 arrestation. Premières grenades lacrymogènes et premiers affrontements au Quartier latin.

6 Mai : Fermeture des universités parisiennes. Manifestations de solidarité avec les étudiants condamnes pour les événements du 3 mai. Barricades et heurts violents au Quartier Latin.

7 Mai : A Paris, une marche rassemble 30,000 étudiants. Le cortège chante L‘internationale autour de la tombe du soldat inconnu.

10 Mai : « Nuit des barricades ». 60 barricades dans Paris dont certaine hautes de 3 mètres. A 2 heures du matin, les CRS attaquent à la grenade rue Gay-Lussac.

14 Mai : La Sorbonne est décrétée « commune libre » et Nanterre « faculté autonome »

15 Mai : A Paris, 2500 étudiant s’occupent le Théâtre de l’Odéon, dont le directeur, Jean-Louis Barrault, s’associe au mouvement.

22 Mai : Cohn- Bendit est interdit de séjour en France. Manifestation de soutien. « Nous sommes tous des Juifs allemands » Les syndicats se déclarent prêts à négocier.  

28 Mai : En dépit de l’interdiction, Cohn-Bendit rentre en France et tient une conférence de presse à la Sorbonne. 

[2]

  

 

 

 

Le Quartier Latin est la site important pour les manifestations. C’était la Sorbonne qui est au centre de l’éducation. La voici où les émeutes de 1968 en France se sont déroulés.

 

Il y a les grandes manifestations dans les rues à Paris sur la nuit du 10 au 11 mai 1968. Les deux universités sont fermées le 9 Mai donc les étudiants ont manifesté dans le Quartier Latin et ils ont décidé de manifester le lendemain. Le 10 Mai 35,000 étudiants ont marché sur Paris pour la libération des étudiants qui sont arrêter dans la prison de la santé et pour arrêter la réouverture des universités. Les étudiants n’ont jamais arrivé à la prison parce que les policiers ont pris les étudiants au piège dans la Quartier Latin.

 

Quand les étudiants sont bloqué dans les rues dans le Quartier Latin ils ont crée les barricades avec les objets qu’ils ont trouvé dans les rues comme les pavés et les voitures. Les policiers ont pensé que les étudiants abandonneraient leur protestation mais ils n’ont pas abandonné leur lutte pour la libération des étudiants imprisonnés.

 

Donc les policiers ont attendu jusqù’ à 2h15 du matin pour attaquer les barricades et les étudiants. Cette attaque a pris trois heures et pendant la destruction des barricades, 300 personnes qui étaient blessés.

 

19h30 les étudiants ont demandé la liberation des étudiants dans la prison da la Santé.

 

20h40 Alain Geismar (SNESup) et Jacques Sauvageot (UNEF) créent un mot d’ordre d’occupation du Quartier Latin.

 

21h15 le rue Le Goff était le premier barricade qui existe pour Mai ’68.

 

22h05 une délégation pour libérer les étudiants imprisonnés. Plus des barricades ont été créer et les policiers ont utilisé la violence plus forte. 

 

01h45 Les négociations n’ont pas un sucess mais il y a une soixantaine de barricades. 

 

02h15 les policiers ont utilisé les grenades lacrymogènes pour controler les  étudiants qui ont manifesté. 

 

02h40 les policiers ont essayé de détruire le premier barricade mais les étudiants ont mis le feu à le barricade et les voitures. Il y a les centres de secours qui sont installés.

 

03h00la police enlève les barricades et les inhabitants jettent de l’eau sur les étudiants pour les protéger des gaz lacrymo. 

 

05h30 les dernières poches de résistance sont « nettoyées ».

 

 

 

• Sozialitischer Deutsche Studentenbund- SDS (international)

Il a été fondé en 1946 à Hambourg, en Allemagne, en tant que branche de la collégiale Parti social-démocrate allemand (Sozialdemokratische Partei Deutschlands.) Des membres importants du SDS étaient Helmut Schmidt, chancelier de l'Allemagne plus tard, qui a été membre pendant que le SDS faisait encore partie de la SPD, la plus tardive de l'Armée rouge membre Faction Ulrike Meinhof, et Rudi Dutschke. Le SDS est devenu l'élément prépondérant dans l'opposition extra parlementaire. Il est essentiellement constitué d'étudiants de niveau collégial et universitaire. La SDD opposés à la guerre du Vietnam et l'implication politique de l'Allemagne, ainsi que l'utilisation des armes nucléaires.

 

 

 

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• Students for a democratic society (USA)- SDS (international) 

Étudiants pour une société démocratique (SDS) est un mouvement militant étudiant aux États-Unis qui a représenté la Nouvelle Gauche. Cette organisation a développé et s'est rapidement développée au milieu des années 1960 mais s’est dissous en 1969, après son dernier congrès. Avec l'escalade de la guerre du Vietnam, le SDS a rapidement augmenté car les jeunes ont protesté contre la destruction causée par le gouvernement américain et militaires. Le SDS croyait en La démocratie participative, l'action directe, le radicalisme, pouvoir étudiant, budgets restreints, et sa structure organisationnelle et était aussi inspiré par le mouvement des droits civiques et d'abord préoccupés par l'égalité, la justice économique, la paix et la démocratie participative.

 

 

 

[1] Original quote: as a means of converting everyday demands into a radical orientation.’ BROWN, 1974 (pg.73)

[2] Télérama Hors-Série Mai 68 l’héritage (2008)

 

Bibliography: